Diagnostiqué bipolaire à 14 ans, passé par toutes les addictions, Cory Richards renaît par l'alpinisme : récit d'une vie de risque talonnée par la folie, avec en ligne de mire, l'Everest sans oxygène...

Né au pied des montagnes Rocheuses, Cory Richards vit une enfance au grand air : ski, escalade, bivouacs... Enfance idyllique ? Pas tout à fait. Pour Cory, la famille est aussi un nœud de violence et de douleurs. Diagnostiqué bipolaire à l'adolescence, il connaît l'internement, les fugues et les addictions avant de se lancer à corps perdu dans ses deux passions : l'alpinisme et la photographie. " J'ai voulu vivre follement pour échapper à la folie ", dit-il. En écrivant le livre de sa vie, ses réussites flamboyantes et ses rechutes brutales, il choisit de regarder avec une sincérité incandescente son chaos intérieur, pour mieux l'affronter. Et l'apaiser.

Cory Richards est le seul Américain à avoir gravi un sommet de plus de 8000 mètres en hiver. Il a été photographe aux quatre coins du monde pour le National Geographic. Aujourd'hui conférencier, il témoigne de son expérience des troubles mentaux et des voies qu'il explore pour y échapper.

Traduit de l'anglais par Charlie Buffet

Comment une bande de hardis tocards a redécouvert les secrets ancestraux de la force et de l’endurance !

Après les canyons du Mexique, l’auteur de Born to Run met le cap sur la Méditerranée, en Crète, berceau de la mythologie grecque, où il va découvrir que les pouvoirs des héros de l’Antiquité ne sont pas inaccessibles au commun des mortels, comme l’a démontré une poignée de résistants pendant la Seconde Guerre mondiale. Sur cette île farouche, McDougall marche dans les pas du peintre fauché, du jeune berger insouciant et du poète romantique qui, en pleine occupation, ont osé défier Hitler en enlevant l’un de ses généraux. Où sont-ils allés puiser l’énergie et le courage nécessaires pour accomplir un tel exploit et échapper à la traque des nazis ?Pour mener son enquête, McDougall retrace l’itinéraire de ces héros, à la fois authentiques et ordinaires, qui ont su retrouver la force d’Héraclès, l’audace de Thésée et la résistance d’Ulysse. Un voyage qui le mènera à Londres, au Brésil, dans les montagnes du Colorado et en banlieue parisienne, où quelques athlètes avant-gardistes perpétuent encore aujourd’hui les secrets des héros de l’antiquité. 

Traduit de l’anglais (États-Unis) par Jean-Philippe Lefief.

Une élégante invitation au voyage dans les Alpes sous le trait de Jacques de Loustal !

Les kilomètres de l’autoroute défilent sous les roues de l’automobile. Et très vite, l’œil est attiré par les panneaux ocre et brun plantés sur le bas-côté de la chaussée. Ces panneaux happent le regard du voyageur : ils prennent l’automobiliste par la main, pour l’inviter à découvrir les paysages et le patrimoine de ces Alpes qu’il est en train de sillonner.

Celui qui nous convie ainsi à la rencontre des départements alpins n’est pas n’importe qui : il s’agit de l’une des signatures les plus prestigieuses de la bande dessinée européenne de ce dernier demi-siècle. Sollicité par la société d’autoroutes APRR, le dessinateur Jacques de Loustal a en effet accepté de relever le défi. La mission était pourtant redoutable, tant les contraintes du cahier des charges de la commande étaient lourdes : contraintes de format, de coloris, de lisibilité immédiate, de thématiques imposées, etc.

Abondamment illustré, ce beau livre rédigé par le critique d’art Jean-Louis Roux relate à la fois une aventure graphique, aussi séduisante qu’exigeante, et la façon dont, conduits par la virtuosité du dessin, nous en venons à revisiter d’un œil neuf les sites emblématiques de l’Isère, de la Savoie et de la Haute-Savoie. Et c’est ainsi que l’incomparable élégance du trait de Loustal se trouve ici mise au service de l’une des plus belles régions de France… Avec Loustal, c’est un bonheur de tomber dans le panneau — panneau d’autoroute, bien entendu.

La vérité, enfin, sur le destin d'une extraordinaire Robinson Crusoé au féminin. Isabelle Autissier, dont le bateau porte le nom de notre héroïne, Ada, signe une préface au livre de celle dont elle a toujours admiré la ténacité.En 1923, l’explorateur canadien Vilhjalmur Stefansson envoie quatre jeunes hommes en Arctique. L’objectif : coloniser Wrangel, une île désolée, aux confins de l’Amérique et de la Russie.Pour compléter l’équipe, il embauche une Inuite de vingt-trois ans, mère célibataire d’un enfant malade, qui voit là l’unique issue pour soigner son fils. Ada Blackjack doit cuisiner et ravauder les vêtements ainsi que le matériel des explorateurs – rôle essentiel dans ces contrées glaciales.

Mais une fois sur l’île, la situation vire au cauchemar : la nourriture manque et le froid se fait plus assassin que jamais. Les plus confiants se mettent à douter, les plus vigoureux s’affaiblissent. Bientôt, Ada se retrouve seule. Abandonnée. Comment va-t-elle survivre dans un environnement aussi hostile ?Ada Blackjack est la fascinante aventure d’une femme au courage et à la ténacité hors du commun, reconnue tardivement comme « héroïne de l’Arctique ».

Traduit de l’anglais (États-Unis) par Jean-François Chaix.

DISPONIBLE EN AVRIL 2025

Elle s’est hissée dans un monde d’hommes. Jusqu’à les dépasser avec le sourire. Lynn Hill a écrit l’une des grandes pages de l’escalade au féminin.

Le récit commence par un cri primal : Lynn Hill chute du haut de la falaise de Buoux en poussant un hurlement entendu à un kilomètre de distance. Ce 9 mai 1989, un buisson miraculeux l’accueille et elle survit. « Être passée si près de la mort était le signe qu’il était temps de m’occuper de moi, de la manière dont je grimpais, mais aussi dont je vivais. »

La jeune Américaine, née en 1961, pur produit de la Californie des Seventies, se révèle sur les Big Walls où elle va marquer l’histoire en réussissant une première convoitée qui résistait aux meilleurs grimpeurs masculins : l’ascension en libre du Nose, un pilier de granit haut d’un kilomètre, dans le Yosemite. Elle leur a lancé en souriant une phrase devenue célèbre : « It goes boys », « Ça passe, les garçons »…

Lynn Hill, née en 1961, passe sa jeunesse en Californie, où elle découvre l’escalade. Elle fut l’un des meilleurs grimpeurs du monde (homme et femmes confondus) et gagna plusieurs des premières compétitions d’escalade. Greg Child, australien, a publié plusieurs livres racontant les épisodes marquants de sa vie d’alpiniste de haut niveau : Cartes postales de la vire (Guérin, 1999) et Théorème de la peur (Guérin, 2007).

Un album sensible et drôle qui emmène petits et grands en montagne, lieu d’apprentissage et de consolation.

Une mère enceinte, un père pirate en photo, un chien au nom étrange et un enfant contrarié s’apprêtent à passer une semaine de vacances dans un chalet. L’enfant n’aime pas les nuages qui vont trop vite et les montagnes à la longue barbe blanche. Pourtant, une balade nocturne dans la forêt avec son chien pourrait changer son regard. Au cœur des prairies de pissenlits, sur les sentiers inclinés, tout près du grand châtaignier, un os de chamois noué autour du cou, il dialogue avec son père et découvre les règles de la piraterie. Et surtout, il apprend à ne plus avoir peur…

Traduit de l’italien par Laure Giroir

Une quête captivante dans la taïga sur les traces des revenants du goulag.

Sibérie, printemps 1991. L’Union soviétique vit ses dernières heures dans un chaos indescriptible. Piotr, ex-agent du KGB, est investi d’une mission qui ne se refuse pas : éliminer un revenant du goulag qui en sait trop sur le passé d’un chef du Komité. S’il n’exécute pas les ordres, on abrégera les jours de sa vieille mère.

L’homme à abattre vivrait en ermite au fin fond de la taïga, à dix jours de marche au nord de Balitsky Point. Liouba, quinze ans, trappeuse de son état, se propose d’accompagner Piotr dans cette expédition qui ne s’annonce pas de tout repos en pleine débâcle. Entre incendies dévastateurs et bêtes sauvages, le danger est omniprésent. Mais le pire est à venir : le KGB n’a rien laissé au hasard et Piotr n’a pas idée du plan machiavélique auquel il prend part malgré lui. Dans cette traque impitoyable où se rejoignent toutes les débâcles, la glace et le régime soviétique se désagrègent avec fracas tandis qu’émerge un nouveau dictateur.Ian Manook a sillonné le monde, d’abord pour son plaisir, puis en qualité de journaliste, avant de se consacrer à l’écriture. Entre le Brésil, l’Arménie, l’Islande ou le Grand Nord canadien, il inscrit ses histoires sur des terres où la nature est toute-puissante. Aux éditions Paulsen, il est l’auteur de À Islande ! et de Ravage. 

La promesse d’un nouveau départ aux confins de l’Arctique.

Norvège, 1862.
Brita Caisa est condamnée à quarante jours de prison, au pain sec et à l’eau, pour relation adultère. L’homme qu’elle aime est derrière les barreaux, lui aussi, et il ignore qu’elle porte leur enfant. Lorsqu’elle est libérée, Brita Caisa se rend à Pykeijä, dans l’archipel des Lofoten, en pleine tempête de neige.
Entre fjords et pâturages se nichent des villages de pêcheurs. Dans ce haut lieu de la chasse à la baleine, Brita Caisa espère un nouveau départ. Quand Mikko sortira de prison, elle n’en doute pas, il leur construira une cabane en rondins. Elle semble oublier qu’il est toujours marié à une autre.
Entre saison de pêche et sauna, jalousie mortelle et grand amour, ce deuxième tome de la saga nous entraîne sur des flots tourmentés.

Un prodigieux roman noir sur fond blanc.

Red Arctic, hiver 1931. Une meute d’une trentaine d’hommes armés, équipés de traîneaux, d’une centaine de chiens et d’un avion de reconnaissance pourchasse un homme. Un seul. Tout seul.  C’est la plus grande traque jamais organisée dans le Grand Nord canadien. Pendant six semaines, à travers blizzards et tempêtes, ces hommes assoiffés de vengeance se lancent sur la piste d’un fugitif qui les fascine. Cette course-poursuite va mettre certains d’eux face à leur propre destin. Car tout prédateur devient un jour la proie de quelqu’un d’autre…

Un roman qui nous transporte dans le Grand Nord scandinave.

1859. Brita Caisa doit partir. Tombée en disgrâce, la guérisseuse de Sodankylä quitte sa Finlande natale pour se rendre à Vadsø, sur les côtes sauvages du Finnmark. Sur son traîneau, ses deux fils âgés de trois et onze ans : des enfants du scandale, nés hors mariage. C’est à l’extrême nord de la Norvège que Brita espère trouver un père pour eux et les mettre à l’abri de la famine. La route vers le nord est semée d’embûches, mais la guérisseuse ne se contente pas d’affronter les éléments, elle apporte son aide à tous ceux qui en ont besoin. Lorsqu’elle rencontre Mikkel Aska, Brita sait au fond d’elle qu’elle est arrivée à destination. Mais il est marié à une autre ; une autre qui n’a pas l’intention de laisser cette étrangère la déposséder de ce qu’elle a de plus précieux.
Une somptueuse odyssée scandinave, librement inspirée de faits réels, dont le style puise ses racines dans la force brute des éléments.

Traduit du norvégien par Hélène Hervieu.

Une anthropologue et un photographe s’allient pour sublimer les glaciers.

Olivier de Sépibus, photographe, monte à la rencontre des glaciers alpins depuis vingt ans. Ses images sans humains, sublimes et choquantes, sont le témoignage d’une planète en feu qui perd sa mémoire de glace.Nastassja Martin, anthropologue et écrivaine, choisit de ne pas détourner le regard et cherche dans l’histoire de la peinture et dans la poésie des clés pour appréhender ces images qui bousculent nos idées sur le monde.La glace se sublime vers le ciel, elle craque, gargouille et nous parle. Quelque chose meurt, quelque chose se crée, il est temps d’écouter la voix des sources de glace.

Enquête sur les JO d’hiver 2030.Il y a quarante ans, Guillaume Desmurs, alors collégien savoyard, bondissait de joie en apprenant qu’Albertville allait accueillir les Jeux olympiques d’hiver 1992. Lorsque ceux de 2030 ont été attribués à la France (seule candidate retenue !), le journaliste expert qu’il est devenu a observé l’indifférence de l’opinion et commencé une enquête sur ce projet insaisissable : une candidature improvisée par deux présidents de région, sans soutien populaire, avec un budget des plus flous et de vagues promesses intenables d’accompagner l’inévitable transition de l’économie du ski. Mais à l’heure où la crise climatique menace l’avenir même des stations, rien dans la candidature ne permet de dire que cet événement mondial gigantesque permettra aux territoires de montagne de se préparer aux chocs climatiques, économiques, énergétiques, hydriques, sociaux, alimentaires qui s’annoncent.Que révèle cette candidature précipitée des tensions et opportunités des territoires de montagne ? Comment l'histoire (dont l'étonnante péripétie des JO d'hiver de Denver 1976) peut nous éclairer sur la suite ?

Dans la station huppée de Val d’Arel, la neige blanchit tout, sauf le sang.Val d’Arel cumule toutes les dérives de « l’or blanc » : pression immobilière, argent sale bien blanchi, mafieux russes qui n’oublient pas de « travailler » pendant leurs vacances à la neige, élus corruptibles, citoyens intimidés et escort girls court vêtues les soirs d’hiver. Une nuit, aux commandes de sa dameuse, Francis Jay voit une robe rouge tituber dans ses phares, et c’est le début d’un engrenage infernal où un garde du corps patibulaire opère en peaux de phoque et un artiste russe provocateur met son grain de sel… mais rien ne se passe comme prévu.

Trouver un bateau performant, convaincre des sponsors, se préparer physiquement et mentalement, naviguer pour être au plus haut niveau… À l'occasion de sa 3e participation au Vendée Globe, Romain Attanasio nous livre tous ses secrets de préparation pour la course à la voile la plus difficile du monde.

Depuis 1989, c’est la course qui fait le plus rêver les amateurs de voile en France et dans le monde. Le Vendée Globe, course autour du monde en solitaire, sans escale et sans assistance, met aux prises les meilleurs marins de la planète. Mais surtout, c’est la course la plus difficile du monde où ces aventuriers des temps modernes traversent les mers les plus dures, affrontent les cinquantièmes hurlants dans l’hémisphère Sud, se font violemment secouer dans leurs bateaux qui filent désormais à plus de trente nœuds pour les plus rapides équipés de foils…

Comme les jeux Olympiques, le Vendée Globe revient tous les quatre ans. D’édition en édition, la course n’a pas perdu son esprit aventureux, mais elle s’est aussi professionnalisée avec des bateaux de plus en plus performants, des équipes de plus en plus étoffées et des budgets grandissants.

Romain Attanasio, qui sera au départ, en novembre 2024, de son troisième Vendée Globe est un témoin privilégié de cette évolution. Il nous livre les secrets d’une bonne préparation à la plus prestigieuse des courses à la voile. Grâce à son expérience et sa progression, il fait aujourd’hui partie de l’élite de la classe Imoca. Convaincre des sponsors, réunir un budget de plusieurs millions d’euros, rassembler une équipe qui va gérer au mieux le matériel, acquérir un bateau performant, le préparer au mieux pour la course… Ce sont tous ces défis que Romain raconte dans cet ouvrage. Sans oublier de nous livrer les secrets de préparation… du bonhomme ! Passer trois mois seul sur un Imoca, dans des conditions météos souvent hostiles, ça ne s’improvise pas et demande un entraînement physique et mental à toute épreuve. Romain nous raconte aussi ses souvenirs de courses, comme cette collision avec une baleine qui lui coûtera un safran, ou comment il s’est évanoui et réveillé le visage en sang après avoir enfourché une vague à 30 nœuds…

Une saison de pêche sous haute tension dans les eaux polaires de la mer de BéringAlaska, années 1990. Adam a besoin d’argent, et vite. Sa bourse d’études lui a été retirée après un délit commis sur le campus. S’il ne réunit pas 26 000 dollars en quelques mois, il peut mettre une croix sur son brillant avenir. Le jeune homme embarque à bord d’un vieux chalutier pour une saison de pêche en mer de Béring. Un boulot dur, dangereux, qui consume corps et âme.La plupart des marins du Vice ont connu la prison. Des hommes rugueux, brutaux, impitoyables, à l’image des tempêtes qu’ils traversent. Sous les ordres du capitaine Nash, l’équipage travaille sans relâche et lutte pour sa survie. C’est dans la tourmente qu’on apprend de quel bois on est fait.Dans ce roman d’apprentissage tendu, à l’écriture immersive, s’entremêlent des destins forgés par la houle. Roman traduit de l’anglais (États-Unis) par Nathalie Guillaume

Un roman crépusculaire au bord du vide, où le moindre faux pas peut coûter la vie.

À l’aube du xxe siècle, deux tragédies frappent un paisible village norvégien : le meurtre d’un homme et la disparition d’une fille de ferme. Un an plus tard, les recherches menées dans la montagne pour retrouver Kirsten restent infructueuses. Pourtant, les portes des chalets d’alpage ont été forcées. Les villageois racontent que des cris viennent de là-haut : Kirsten demande à voir le pasteur.Le jeune Sebastian Ribe, fraîchement arrivé du Danemark, accepte d’aller à la rencontre de la disparue. Il a besoin de l’aide de Reidar Skåren pour s’aventurer dans ce monde minéral, agité par des vents contraires, où la brume et la neige brouillent les repères. Au milieu de cette nature sauvage où la moindre pierre semble vous épier, les cairns sont-ils la meilleure façon de rester sur le droit chemin ?

Roman traduit du norvégien par Marina Heide

Mémoires d’un berlingot amnésique.Dominique Potard, auteur du pétillant Port de la Mer de glace, saga en 7 épisodes, aurait pu choisir d’écrire ses mémoires : sa vie de guide chamoniard, adepte du ski « extrême » entre autres aventures, aurait largement rempli la carafe. Mais chez Potard, le ton, le style fait le bonhomme (et les dialogues). C’est donc sous forme de courtes scènes enlevées comme au théâtre de boulevard qu’il revisite ses souvenirs, depuis ses premiers émois d’adolescent grimpeur.
Et le sous-titre ? « Berlingot, parce que j’ai grandi à Carpentras. Amnésique, parce que tous les alpinistes le sont. À peine redescendus miraculeusement des cimes, ils n’ont qu’une idée en tête : retourner là-haut. »

Emmanuel Faber, patron visionnaire, partage sa passion de la montagne et ses engagements pour l’avenir.

Passée sa brutale éviction de Danone, Emmanuel Faber se pose dans un refuge des Alpes. Il raconte comment la montagne et l’escalade ont dessiné son itinéraire : l’orage en Oisans dans l’enfance, les falaises du Vercors à l’adolescence, seul dans la tempête une nuit d’hiver à ski, en collectif pour l’ouverture d’une nouvelle voie sur le granite corse. Il partage son expérience de patron activiste et livre sa vision des enjeux d’aujourd’hui et demain. Un appel vibrant à la prise de conscience et à l’action.Cette nouvelle édition poche est augmentée d’une postface de l’auteur.

Comment une petite chose peut mener à une grande aventure !

Tout commence avec une petite goutte d’eau, qui chute d’un nuage, tout là-haut, pour rejoindre un ruisseau.

Mais le voyage ne fait que commencer… Es-tu prêt à plonger avec elle pour un incroyable périple, entre mer et atmosphère ?

Une histoire simple et documentée pour découvrir le stupéfiant cycle de l’eau, qui permet à la vie de s’épanouir sur notre planète. Avec une carte à déployer en fin d’ouvrage !

Comment une petite chose peut mener à une grande aventure !

Tout commence avec un souffle qui emporte au loin un petit parachute blanc. Échappée d’une fleur, une graine voyage au gré du vent pour créer à son tour une nouvelle plante, qui nourrira animaux et êtres humains. Es-tu prêt à t’envoler dans la nature avec elle ?

Une histoire simple et documentée pour découvrir la vie d’une fleur et son cycle, petite force de la nature aux mille bienfaits… Avec une carte à déployer en fin d’ouvrage !

Elles sont encore qu’une trentaine de femmes guides de haute montagne en France, et Martine Rolland leur a ouvert la voie.

Si elle a grandi à Grenoble, Martine Rolland n’est pas issue d’une famille de montagnards. À vingt ans, l’intrépide jeune femme qui pratique alors la natation et le parachutisme rencontre celui qui va devenir son mari. Jean-Jacques Rolland est guide de haute montagne et ne se contente pas d'initier à l'alpinisme et à l'escalade l'élue de son cœur : il partage avec elle sa passion, ses connaissances, son temps. En 1976, deux ans après la naissance de leur premier fils, Martine Rolland est admise au GHM (Groupe de haute montagne), qui rassemble l’élite de l’alpinisme international. En 1983, elle devient à son tour guide de haute montagne. « Je me suis dit que j’avais le niveau, il n’y avait pas de raison que je ne réussisse pas. »Première femme en Europe à décrocher la fameuse médaille, elle suscite l’intérêt de la presse, tandis que certains de ses collègues prédisent qu'aucun client ne voudra confier sa vie à une femme !Ils se trompaient: Martine n’aura pas de difficulté et beaucoup de satisfactions à exercer son métier de guide dans le Briançonnais. Cette histoire est aussi celle d’un couple épris de liberté qui a su concilier amour de la montagne et vie de famille, élevant deux garçons devenus à leur tour alpinistes… Elle témoigne également de façon très humaine d'un demi-siècle d'évolution de l'alpinisme.

Quand un homme incarne à la fois une montagne et la figure du montagnard... L'un des épisodes les plus passionnants de l'histoire de l'alpinisme.

Le 16 août 1877, Pierre Gaspard, guide de Saint-Christophe-en-Oisans, son fils et son client, le baron Emmanuel Boileau de Castelnau, gravissent le dernier sommet majeur des Alpes encore vierge : le Grand Pic de la Meije. Les meilleurs alpinistes de l’époque, français, suisses et anglais, parmi lesquels Coolidge qui l’employait également, se livraient une véritable compétition sur cette cime magnifique.

Le témoignage rare et captivant d’un membre Peloton de gendarmerie de haute montagne (PGHM).

François Nicard nous fait vivre quelques-unes opérations de secours les plus marquantes qu’il a menées dans les Alpes, en nous livrant ses peurs comme ses joies, ses doutes et ses remords, comme ses fiertés.

Action, suspense, rivalité, amour et humour : tous les ingrédients d’une série à rebondissements, digne de Mash, Docteur House ou Urgence, sur fond de massif du Mont-Blanc et d’hôpital de Chamonix.

Emmanuel Cauchy a mis son expérience de médecin du secours en montagne au service d’un polar alpin en quatre épisodes palpitants et hilarants : « Frisson fatal, « Morte et blanche, « Silence glacial, « Urgence vitale.

Quand on a emmené l’équivalent d’un Parc des Princes en montagne, on a forcément des histoires à raconter…

Au début, ce qui a mis en marche Pascal Conceillon, c’est la montagne. Mais très vite, ce qui l’a fait marcher avec passion, ce sont les autres. Pendant vingt-cinq ans, cet accompagnateur en moyenne montagne a emmené des gens, en groupe le plus souvent, marcher quelques heures ou quelques jours, sur les chemins d’été ou les monts enneigés, par un beau soleil, sous une bruine lancinante ou un grésil tenace.

Dans cette société où le loisir est devenu un enjeu clé de la réussite de nos vies, la marche s’est largement démocratisée. Au fil du temps, Pascal Conceillon a vu arriver dans ses montagnes de nouveaux profils, de nouvelles exigences. Ce décalage entre son univers rude et conservateur et ce monde qui nous laisse croire que tout est facile a été le terreau de situations cocasses, parfois surréalistes.

Toutes ces histoires réelles composent un livre drôle et émouvant. Des amitiés, des blessures, des engueulades, des rigolades. Dans un monde où l’on nous vend l’aventure à chaque coin de rue, ce livre rappelle une évidence : ce qui nous fait le plus marcher, c’est l’aventure humaine.

Un ouvrage deux-en-un pour tous les cyclistes néophytes en Gravel, en quête d’informations pratiques, et qui souhaitent tester ce type d’aventure, pour vivre une expérience unique, mais sans aller dans une pratique extrême.

Le vélo a le vent en poupe depuis la crise sanitaire et les pratiques cyclistes se diversifient. Entre la compétition pure et dure et le cyclotourisme, il existe maintenant des formes émergentes, plus libres et moins codifiées. Le Gravel et le bikepacking sont ces deux formes, à la fois différentes et totalement complémentaires.

Ce livre propose une exploration des possibles, avec un rappel technique mais aussi une dizaine d’idées de voyages accessibles au plus grand nombre en France et dans les pays limitrophes.

UN OUVRAGE DEUX-EN-UN avec :

– une partie technique (enrichie de tutos vidéo accessibles via des QR-codes) ;

– une partie voyage et inspiration présentant une dizaine de parcours en France et en Europe proche.

Le tout richement illustré et agrémenté de récits et témoignages de sportifs et des conseils d'experts.

La partie technique rappelle la spécificité d’un vélo « Gravel » par rapport à un vélo de route, un VTT ou même un VTC. Y sont expliqués les différences de géométrie, de matières (alu, acier, carbone ou titane), les différentes transmissions, les sacoches, le bivouac, l’orientation, la planification.

La partie voyage et inspiration est une invitation à l’exploration avec une sélection d’une dizaine de parcours en France ou en Europe proche. Des parcours accessibles comme la Vélidéale de la Creuse à l'océan Atlantique, ou Montanas Vacias en Espagne avec 700 km dans la Laponie Espagnole.

Pour chaque parcours, une fiche technique donne les infos de base pour préparer cette aventure, mais aussi des conseils pratiques sur le matériel, la préparation ou les options de couchage / bivouac.

Le guide ultime pour se nourrir de façon saine, économique et tout en gourmandise durant vos aventures en itinérance.

Nicolas Leroux, jeune cuisinier, propose dans ce guide pratique une cuisine itinérante saine et toujours gourmande et transmet ses meilleurs conseils pour s’équiper et se nourrir efficacement et sereinement durant vos itinérances. L’ouvrage répond à toutes les questions pratiques du voyageur itinérant et offre une compilation des meilleures recettes nomades de l’auteur avec de nombreux visuels pour se mettre en appétit : du petit-déjeuner au dîner, en passant par les snacks indispensables et les desserts ou encore les grignotages pour rendre le périple plus agréable. Vous pourrez également concocter plusieurs plats à base des plantes sauvages trouvables sur le chemin, avec la meilleure manière de les reconnaître et de les consommer.

Au-delà des paysages majestueux, une invitation à parcourir les richesses patrimoniales insoupçonnés de ce territoire.

Cet ouvrage richement illustré et documenté nous convie à parcourir des itinéraires oubliés ou des sentiers plus fréquentés en nous incitant à regarder davantage autour de nous. L’aspect spectaculaire des paysages masque trop souvent les richesses patrimoniales insoupçonnées du territoire haut-alpin. Les montagnes des Hautes-Alpes abritent en effet des joyaux oubliés, des ruines de bâtiments militaires hors normes, d’anciennes mines d’altitude, des grottes méconnues, des formations géologiques étonnantes, bref, des héritages du passé qui méritent notre attention.

Un topo détaillé de la randonnée permet à chacun d’aller découvrir les différents sites présentés.