De Wissembourg au Ballon d’Alsace : la traversée des Vosges en 17 à 27 étapes.

Passion Vosges vous invite à traverser le massif des Vosges à pied de Wissembourg au Ballon d’Alsace via le GR®53 et le GR®5 en suivant le mythique balisage rectangle rouge. Un périple de plus de 400 kilomètres à parcourir en 17 à 27 étapes, selon que vous êtes un marcheur aguerri - comme nos journalistes qui vous racontent leur périple - ou que vous avez décidé de faire cette découverte au rythme d’une aventure familiale.

Passion Vosges vous indique aussi les moyens de transport à votre disposition pour regagner votre point de départ si vous ne souhaitez effectuer qu’un tronçon de cette traversée nord sud et les solutions d’hébergement qui se présentent à vous. Le descriptif de chaque étape est téléchargeable sur smartphone grâce à un QR code et disponible sur le site de l’application Visorando qui vous permettra de vous géolocaliser sur le terrain.

Vous trouverez également dans Passion Vosges des conseils pour bien préparer votre randonnée : que mettre dans son sac à dos, comment organiser sa traversée, quelle préparation physique effectuer et les conseils d’une diététicienne du sport.

Au sommaire de ce numéro 19:

Dossier Sources : une histoire de la ressource en eau par Florence Habets, hydroclimatologue et directrice de recherche au CNRS, l’approvisionnement en eau et notre rapport aux sources par la géographe Magali Reghezza-Zitt, l’imaginaire des sources par le philosophe Jean-Philippe Pierron, extraits littéraires illustrés, infographies, conseils de lectures, de films, de musiques…

Hors dossier : correspondance, atlas, cartes anciennes, héros et héroïnes d’hier et aujourd’hui, entretien avec Mathieu Lihoreau, portfolios de Caroline Corbasson, Andrea Montano et de Naoya Hatakeyama, histoire du sorgho par Éric Birlouez, portrait d’Edwar Lear par Valérie Chansigaud, agenda culturel, correspondance, poème et récit illustrés.

80 randonnées au cœur des Vosges ! Eté 2024

Prenez le grand air dans les Vosges ! Vivez une expérience à 360° pour découvrir dix sites emblématiques, du nord au sud de l’Alsace. On vous les raconte, vous y emmène en balade, on vous y propose le gîte et le couvert. Partez à la découverte de la montagne sacrée du Donon. Marchez dans les pas de sainte Odile sur son mont. Admirez les chamois et la beauté du Hohneck. Découvrez la faune, la flore et le microclimat du Bollenberg. Faites le tour des lacs de montagne hauts en couleur. Accédez au toit de l’Alsace en grimpant au sommet du Grand Ballon.

Des lacs, des cols, des sentiers, des fleurs, des vaches, du fromage… La liste à la Prévert rime avec Vallée de Munster, où nous vous guidons dans ce numéro de Passion Vosges, qui lui est entièrement consacré.

Ce magazine, réalisé une fois de plus avec le Club Vosgien, s’adresse à ceux qui aiment la découverte patiente et l’histoire d’une montagne travaillée par les hommes, de la naissance d’une vallée au sommet des crêtes.

Venez découvrir celle que l’on surnomme la Vallée des Merveilles, à travers nos reportages et 35 balades proposées. Vous ne l’oublierez pas !

Découvrez les plus belles stations vosgiennes côté alsacien et côté lorrain !

Dans ce nouveau numéro vous en saurez plus sur leurs ambitions, leurs offres de loisirs mais aussi leurs adaptations au changement climatique. Vous découvrirez également un volet reportage et un volet guide.

25 balades téléchargeables sont proposées en partenariat avec le Club Vosgien au départ des stations pour se garer et se restaurer facilement.

Le magazine Passion Vosges vous convie - et c’est une première - à la découverte de l’Alsace à vélo. Et c’est d’autant plus facile que des centaines de kilomètres de pistes cyclables ont été aménagés du nord au sud de la région, permettant de flâner le long du Rhin, de se rendre au pied d’un château ou d’une ancienne abbaye.

Cependant, sur les chemins et les petites routes goudronnées, comme sur les sentiers des Vosges, il y a des règles à respecter pour garantir une bonne cohabitation entre promeneurs et cyclistes. Vigilance, sécurité, respect des règles : tout cela est d’autant plus important que les vélos à assistance électrique permettent d’aller plus haut, plus loin, plus vite… avec le risque de se surestimer.

Découvrez 32 balades, à faire en famille ou avec des amis qui aiment les défis sportifs, avec ou sans dénivelé, en plaine ou à flanc de montagne. Chaque balade est détaillée, avec un tracé, la longueur et la difficulté du parcours.Passion Vosges vous invite aussi à découvrir toute l’Alsace à vélo… sans prendre votre voiture. Treize boucles sont proposées au départ d’une gare, de Haguenau à Altkirch… qui cheminent toutes vers un lieu remarquable.

Evoquant aussi les grandes heures du Tour de France dans les Vosges, ce numéro exceptionnel - réalisé avec la complicité du collectif Alsace à vélo qui regroupe neuf partenaires institutionnels, des villes, la Collectivité européenne d’Alsace et la région Grand Est - a pour ambition, de développer le tourisme à vélo… y compris auprès des Alsaciens. Allez hop, en selle !

Découvrez quelques pages de notre magazine via ce lien : https://www.calameo.com/books/0065859710f1fab8aa623120 pages.

Au sommaire de ce numéro 18 :

DOSSIER GLACIERS :

L’HISTOIRE PALÉOCLIMATOLOGIQUE DES GLACES CONTINENTALES ET SON INFLUENCE SUR LES CHANGEMENTS CLIMATIQUES ACTUELS PAR GILLES RAMSTEIN, LA FORMATION DES GLACES ET L’ACCÉLÉRATION DE LEUR FONTE EN RAISON DU RÉCHAUFFEMENT CLIMATIQUE PAR ÉTIENNE BERTHIER ET ROMAIN MILLAN, LA DÉCOUVERTE DES TRACES LAISSÉES PAR LES GLACIERS DANS LA PEINTURE, LA LITTÉRATURE ET LA BANDE DESSINÉE PAR FRÉDÉRIQUE RÉMY, ENTRETIEN AVEC HEÏDI SEVESTRE, EXTRAITS LITTÉRAIRES ILLUSTRÉS, INFOGRAPHIES, CONSEILS DE LECTURE, DE FILMS, DE MUSIQUES…

HORS DOSSIER :

CORRESPONDANCE, ATLAS, CARTES ANCIENNES, HÉROS ET HÉROÏNES D’HIER ET AUJOURD’HUI, ENTRETIEN AVEC LAURENT TILLON, PORTFOLIOS DE AURORE BAGARRY ET DE YU YAMAUCHI, HISTOIRE DE « L’OR NOIR », LE POIVRE PAR ÉRIC BIRLOUEZ, PORTRAIT DE GARY SNYDER PAR CHRISTOPHE RONCATO TOUNSI, AGENDA CULTUREL, CORRESPONDANCE, POÈME ET RÉCIT ILLUSTRÉS.

Au sommaire de ce numéro 17 :

DOSSIER BANQUISES :

ÉCOLOGIE ET BIODIVERSITÉ DES BANQUISES PAR CHRISTOPHE BARBRAUD, DÉCLIN DE LA BANQUISE PAR JÉRÔME WEISS, EXPLORATION ET IMAGINAIRE DES GLACES PAR EMMANUEL HUSSENET, ENTRETIEN AVEC EMMANUELLE PÉRIÉ-BARDOUT, EXTRAITS LITTÉRAIRES ILLUSTRÉS, INFOGRAPHIES, CONSEILS DE LECTURE, DE FILMS, DE MUSIQUE…

HORS DOSSIER : ATLAS, CARTES ANCIENNES, HÉROS ET HÉROÏNES D’HIER ET AUJOURD’HUI, ENTRETIEN AVEC LUDOVIC DICKEL, PORTFOLIO DE YOSHINORI MIZUTANI ET EMMET GOWIN, APARTÉ AVEC CATHERINE LE GALL, ÉCOUTONS LES ARBRES PAR JOHANN CHAPOUTOT, VOYAGE SUR LES ROUTES DE L’OR BLANC PAR ÉRIC BIRLOUEZ, PLANCHES NATURALISTES DE JAMES SOWERBY, TRÉSORS PHOTOGRAPHIQUES DE RICHARD ET CHERRY KEARTON, PORTRAIT DE JEAN-HENRI FABRE PAR VALÉRIE CHANSIGAUD, AGENDA CULTUREL, CORRESPONDANCE, POÈME ET RÉCIT ILLUSTRÉS.

Au sommaire de ce numéro :

DOSSIER ÎLES :

ÉCOLOGIE ET BIODIVERSITÉ DES ÎLES PAR SÉBASTIEN LARRUE, GÉOPOLITIQUE DES ÎLES PAR MARIE REDON, IMAGINAIRE INSULAIRE PAR FRANK LESTRINGANT, ENTRETIEN AVEC HERVÉ HAMON, EXTRAITS LITTÉRAIRES ILLUSTRÉS, INFOGRAPHIES, CONSEILS DE LECTURE, DE FILMS, DE MUSIQUE… HORS DOSSIER : ATLAS, CARTES ANCIENNES, HÉROS ET HÉROÏNES D’HIER ET AUJOURD’HUI, ENTRETIEN AVEC AUDREY DUSSUTOUR, PORTFOLIO DE TAIJI MATSUE ET RISAKU SUZUKI, APARTÉ AVEC WILLIAM ACKER, L’HISTOIRE DES POLLUTIONS PAR THOMAS LE ROUX, HISTOIRE DU HARICOT PAR ERIC BIRLOUEZ, PLANCHES NATURALISTES DE MARY VAUX WALCOTT, TRÉSORS PHOTOGRAPHIQUES DE KAZUMASA OGAWA, PORTRAIT DE MARIANNE NORTH PAR VALÉRIE CHANSIGAUD, AGENDA CULTUREL, CORRESPONDANCE, POÈME ET RÉCIT ILLUSTRÉS

L’Alsace et la Lorraine ne manquent pas d’eau. Les torrents, ruisseaux, rivières et cascades structurent des espaces aux pentes adoucies, aux dômes arrondis, aux tourbières feutrées. Les glaciers ont fondu, mais nous pouvons les imaginer grâce aux bassins d’altitude qui sont nos lacs d’aujourd’hui. Se promener sur les berges est une belle leçon de géographie, subtile et jamais monotone. Avec le granit, le quartz, le loess ou le grès, on plonge dans la nuit des temps, quand se dressèrent les Vosges et la Forêt-Noire.Les eaux vives sont une bénédiction. Elles ont aidé l’homme à vivre au plus près de la nature, qu’il s’agisse de pêche, d’élevage, de cultures ou de petites industries mues par la force hydraulique. Il faut préserver ces paysages paisibles pour que les générations futures en aient leur part. Mais rien n’interdit d’en jouir à bon escient à travers la baignade, la plongée, le canoë ou la pêche à la truite.

Les quarante randonnées que nous sommes heureux de présenter ici avec nos amis du Club Vosgien sont des promenades parfaites; elles parlent aux yeux et au cœur, avec à chaque fois une magnifique récompense au bout de l’effort. Il y en a pour tous les goûts, il suffit de choisir.

Cet ouvrage aborde l'escalade sous un angle original, en la considérant comme une voie de méditation. Une méditation active. De même qu'il existe la traditionnelle méditation assise et la méditation marchée, nous pouvons parler de méditation grimpée ou escaladée.

Le symbolisme de l'escalade et de l'ascension est puissant. Il évoque une élévation intérieure, une quête spirituelle, un mouvement vers le perfectionnement, la sagesse et la connaissance de soi.

En s'appuyant sur des textes bouddhistes, mais aussi sur la tradition chamanique amérindienne, ainsi que sur son expérience personnelle et des paroles et témoignages de grands grimpeurs, l'auteure montre concrètement comment méditer en grimpant, et tout ce que cela implique dans la pratique de l'escalade.

Cette approche à la fois émotionnelle, mentale et spirituelle de la grimpe permet d'optimiser ses performances en se libérant des obstacles intérieurs qui peuvent couramment se manifester, notamment les différents désirs de l'ego et toutes les peurs inutiles qu'ils engendrent.

Méditer en grimpant permet ainsi de développer de précieuses qualités sur le plan mental et psychologique. Or on sait bien que les plus grands grimpeurs, outre leurs capacités physiques et techniques exceptionnelles, savent remporter la bataille du mental : cette dimension de la grimpe est essentielle.

Ces réflexions s'adressent à tous les grimpeurs et grimpeuses, quel que soit leur niveau, du débutant au grimpeur chevronné, car cette approche méditative et spirituelle peut concerner chacun de nous. Et bien sûr, au-delà de l'escalade et de ses défis, la méditation, le calme mental et la pleine conscience, nous aident également à surmonter les obstacles dans notre vie quotidienne.

L'ouvrage se termine par un entretien inédit consacré à l'escalade et la méditation avec Thibaut Flachère, jeune grimpeur français né en 1996.

Ce carnet thématique de Notes & Lectures présente quelques planches du 4e tome, consacré aux gallinacés et aux échassiers, des 5 volumes comprenant environ 3 000 illustrations qui composent The Birds of Europe (1837). Son auteur John Gould (1804-1881) était taxidermiste, restaurateur et conservateur à la Zoological Society of London et proche des plus grands naturalistes britanniques. Les lithographies ont été réalisées par sa femme, Elizabeth Coxen Gould et par le mentor de celle-ci, l'étonnant Edward Lear (1812-1888).

Tous les loisirs et sports d’hiver dans ce nouveau numéro ! 

Airboard, trottinette des neiges, luges dernier cri, pulka scandinave, fatbike, vélos électriques sur neige, snow-kite, swingcar… Les nouvelles disciplines explosent sur nos massifs montagneux, des contreforts jurassiens à la ligne bleue des Vosges.Ce numéro exceptionnel " hiver " de notre hors-série Balades présente non seulement des reportages et une immersion dans les coulisses de nos massifs, mais aussi une soixantaine de circuits balisés, comme autant d'escapades dans ces paradis blancs.

CARNET DE NOTES PETITS METIERS DE PARIS.

Reliure pique métalPages blanches et lignéesPlanches illustrées

Coédition avec la BnF

Avant d’ouvrir un magasin de photographie en 1890 à Paris, le Libournais Eugène Atget (1857-1927) a été garçon de cabine sur les lignes d’Amérique du Sud, comédien ambulant exclu du Conservatoire et peintre sans avenir. Fournisseur de « documents préparatoires » – paysages, végétaux et objets variés pour peintres (dont Braque et Utrillo), bâtiments et monuments pour architectes –, il se lance à partir de 1897 dans une des séries documentaires qui ont fait sa gloire : Paris Pittoresque, 900 photographies qui ignorent ostensiblement les quartiers haussmanniens. Elles incluent cette sous-série centrée sur de petits artisans et marchands dont les métiers sont déjà presque obsolètes (marchande de mouron ou de crème, marchand de papier à lettres ou de mèches pour fouet…). Soigneusement posées, ces images verticales stéréotypées à la manière des cartes postales, mais qui s’en démarquent par l’usage remarquable des arrière-plans, composent un reportage empathique et précis sur les activités de la rue et les personnages qui les incarnent.

Cette « Carte agricole et climatologique » extraordinairement détaillée de 1853 est l'œuvre d'un «ingénieur civil » issu de l'École centrale et appartenant sans doute à la Société des ingénieurs civils de France, qui compte un peu moins de 3 000 membres. Celui-ci manifeste une compétence remarquable dans les domaines agricoles (les prairies apparaissent en vert clair, les forêts en vert sombre, les vignobles en rouge et les « terres infertiles » en jaune) et des idées bien arrêtées : les températures moyennes qu'il relève concernent uniquement les saisons culturales d'avril à octobre, classées par latitude.

Ces quatre carnets de fabrication soignée (reliure Singer, marquage à chaud, impression offset) reprennent en all-over de la première à la quatrième de couverture les magnifiques panorama de l'Ouest américain au début du vingtième siècle par Ansel Adams.

Ces quatre carnets de fabrication soignée (reliure Singer, marquage à chaud, impression offset) reprennent en all-over de la première à la quatrième de couverture les magnifiques panorama de l'Ouest américain au début du vingtième siècle par Ansel Adams.

Ces quatre carnets de fabrication soignée (reliure Singer, marquage à chaud, impression offset) reprennent en all-over de la première à la quatrième de couverture les magnifiques panorama de l'Ouest américain au début du vingtième siècle par Ansel Adams.

Au fil d'illustrations de pirogues océaniennes, de paysages insulaires et de coquillages du Pacifique, ce carnet propose d'embarquer à bord de l'Astrolabe pour un long périple à travers les océans. Depuis Toulon jusqu'en Terre Adélie, en passant par la Nouvelle- Guinée, l'archipel des Carolines et l'île Vanikoro, ce carnet suit le voyage de Jules Dumont d'Urville et les découvertes qui le jalonnèrent.

Un manga à vous couper le souffle! Dans une petite boutique népalaise, Fukamachi tombe sur un appareil photo qui pourrait bien être celui de George Mallory, le célèbre alpiniste qui fut le premier à essayer de vaincre l’Everest. Mallory disparût avec Andrew Irvine, lors de cette ascension en 1924, sans que l’on puisse savoir s’ils sont parvenus au sommet. Et si c’était seulement lors du chemin du retour qu’ils avaient eu cet accident fatal? Cela changerait l’histoire de l’alpinisme! C’est sur cette passionnante question que s’ouvre le chemin initiatique de Fukamachi qui sera amené à faire la rencontre de figures hautes en couleurs. Le dépassement de soi, l’aventure, la passion de la montagne sont les leitmotivs de cette formidable aventure signée Jirô Taniguchi !

Fukamachi cherche toujours à en apprendre plus sur le fameux alpiniste Habu Jôji qui aurait retrouvé l’appareil photo de George Mallory sur l’Everest. Il fait la rencontre de Kishi Ryôko, la sœur d’un jeune alpiniste qui a côtoyé Habu et celle-ci lui déclare être en possession du journal de Habu-san. Sa lecture va plonger Fukamachi, et le lecteur à sa suite, dans une aventure aux limites de l’extrême.

Le tome 3 s’ouvre sur le 6 juin 1924, lorsque George Mallory et Andrew « Sandy » Irvine, bouteilles d’oxygène et vivres et appareil photo sur le dos, quittèrent le camp 4 accompagnés de huit porteurs pour tenter d’atteindre le sommet de l’Everest. On suit leurs traces jusqu’à l’altitude à laquelle ils ont disparu. Ont-ils atteint le sommet ? On retrouva des années plus tard quelques effets personnels mais jamais leur appareil photo Kodak ne refit surface officiellement. Le fabricant assure pourtant que si le film est encore dans l’appareil, il est possible de le développer, même plus de cinquante ans après. L’énigme serait-elle donc sur le point d’être résolue…? C’est la question que se pose Fukamachi, à Katmandou, en essayant de pister l’appareil photo qui lui a été dérobé et Habu Jôji qu’il a vraisemblablement ramassé près du toit du monde.

Tandis que l’appareil photo qui aurait pu appartenir au célèbre alpiniste disparu George Mallory suscite toujours toutes les convoitises, Fukamachi entreprend de suivre en tant que photographe l’ascension clandestine de Habu Jôji sur la face Sud Ouest de l’Everest, en hiver et sans oxygène !! Habu accepte uniquement à la condition qu’ils n’aient plus de contacts une fois l’ascension commencée et que chacun se débrouille. Fukamachi rejoint alors Habu pour la période d’acclimatation à l’altitude où il va en apprendre un peu plus sur ce mystérieux et fascinant personnage et peut-être également sur lui-même !

Habu, après avoir sauvé la vie de Fukamachi, continue son ascension clandestine de l’Everest.En levant les yeux, Fukamachi aperçoit la silhouette de Habu, minuscule, loin au-dessus de lui. Ses mouvements sont prodigieux…Pourtant, Fukamachi sent que pour lui, l’aventure s’arrête là, il a frôlé la mort. Les hallucinations se sont calmées mais la migraine ne le lâche pas, Il est redescendu en dessous des 7000 mètres où l’air est plus dense et Habu et son formidable exploit ne quitte pas son esprit…Voici l’épilogue de cette magnifique série qui atteint des sommets dans l’art du dessin et de la narration !

A la fois document historique, pèlerinage du souvenir et panorama touristique, ce numéro offre de magnifiques balades de difficultés diverses, familiales ou plus sportives. Une randonnée de plusieurs jours couvre les 90km de front mentionnés dans ses pages.

En Alsace les châteaux sont rudes, massifs et abrupts. Ils nous renvoient au paysage géographique et mental de la féodalité, quand le clocher allait de pair avec le donjon. Même ruinés depuis plus de trois siècles, ils évoquent la force et la puissance.

Ils font aujourd’hui le bonheur des amis du Club Vosgien : ce sont des buts de randonnées glorieux et beaucoup de régions nous envient de pouvoir organiser autant de marches en forêt autour de murailles séculaires.

Mais rien ne vaut une promenade documentée. L’objet de ce numéro est de redonner vie à des sites prestigieux et à des itinéraires que nos ancêtres parcouraient à pied ou à cheval. Nous avons la chance d’y flâner en paix, sans craindre un carreau d’arbalète tiré de derrière une meurtrière…

31 circuits sélectionnés en partenariat avec le Club Vosgien offrent de multiples possibilités de promenades et de randonnées au cœur des vignobles, forêts et châteaux avoisinants le célèbre Mont Sainte-Odile.